La richissime auteure de la célèbre saga Harry Potter, J.K. Rowling, pourrait très bien choisir de se taire et de vivre tranquille dans sa big mansion de multimillionnaire, loin des critiques et des attaques gratuites en ligne. Mais cette femme a le courage de ses idées, est capable de les exprimer intelligemment et de dire tout haut ce que bien des gens pensent tout bas. On ne peut que saluer son courage. L'autre saga En juin 2020, J.K. Rowling a simplement souligné sur les réseaux sociaux qu’il existe bel et bien un mot pour désigner des « personnes qui ont des menstruations » ( people who menstruate ), soit des femmes. Les réactions n’ont pas manqué de fuser, incluant plusieurs illustres acteurs des films Harry Potter qui ont décrié son intervention, la jugeant « anti-trans ». (Lisez un résumé de cette saga ; Décryptage – J. K. Rowling, Daniel Radcliffe, Emma Watson… et le mouvement trans ) La célèbre écrivaine britannique savait pourtant, dès le départ, que toute cette affair
Elles sont de plus en plus nombreuses sur l’île de Montréal. Un peu partout, dans la ville, elles se multiplient dans l’espace public. Elles sont clairement visibles à toutes celles et ceux qui lèvent les yeux de leur cellulaire. Et cette visibilité soudaine, est-elle intentionnelle ? Ces jeunes femmes portent, non pas le hidjab, le voile islamique, mais bien l’abaya – soit un long vêtement traditionnel musulman couvrant tout le corps féminin. Couvertes de la tête au pied, ces jeunes femmes sont ultra voilées. Elles sont dans le métro ou se promènent au centre-ville de Montréal. Mais celles que l’on voit régulièrement fréquentent pour leur part un cégep à proximité. Elles ont quoi, 17, 18, 19 ans ? En France, ils ont définitivement réglé ce problème. En août 2023, lors de la rentrée scolaire, la France avait annoncé l’interdiction du port de l’abaya et des vêtements religieux dans les écoles françaises . De fait, c’est l’ancien ministre français de l’Éducation nationale Gabriel Atta